Acteurs-Locaux Boudubouts 193 en ÉQUATEUR - Chez les Kichwas
| Emission | [Tourisme] AMERIQUE du SUD | ÉQUATEUR | Vu 62341 fois
[Les Boudubouts] Vidéo N°25637
Nous poursuivons notre exploration de la jungle équatorienne. Après notre rencontre avec la communauté shuars, nous nous rendons auprès de la communauté kichwas.
Dans cette partie de l'Amazonie, sept communautés indigènes distinctes coexistent, chacune ayant des modes de vie différents. Nous sommes accueillis par une famille qui nous fera découvrir leur mode de vie pendant plusieurs jours, et nous passerons de surprises en surprises. Lorsque nous avons exprimé le désir d'aller en forêt, il a fallu accepter des peintures sur le visage. Les kichwas attachent une grande importance au symbolisme spirituel et à la cosmovision chamanique et comme nous sommes étrangers, les peintures nous ont protégés des esprits de la forêt. Après une descente épique de la rivière nous nous sommes rendus à une cascade sacrée où nous avons pris un bain purificateur. Le soir aucune lassitude à observer la forêt et à écouter ses bruits, le spectacle est magique.
Nous retournerons plusieurs fois au cœur de la forêt où nous découvrirons des chenilles danseuses, des plantes savons, des plantes parapluies et nous dégusterons aussi de succulentes cannes à sucre sauvages. Nous serons initiés au tir à la sarbacane et nous découvrirons de nombreux oiseaux qui jouent à cache cache dans les arbres. C’est impressionnant de voir la communion qui existe entre ces indigènes et la nature. Pratiquement tout ce qu’ils consomment ou utilisent vient de la forêt.
L’immersion en territoire kichwa se poursuit. Le soir c’est l’heure de se retrouver autour d’un feu pour chanter et danser. Le matin nous nous levons avec la communauté à cinq heures, avant le lever du soleil. Pendant plus de deux heures chaque personne rassemblée autour du feu raconte ses rêves et le chef les interpréte. C’est la première fois que nous réalisons une psychanalyse publique. Le chef raconte aussi les contes et légendes de la forêt, c’est ainsi que perdurent les traditions de la communauté. À partir de sept heures tout le monde s’attelle à sa tâche, l’occasion pour Hélène de se prendre quelques instants pour une gentille guenon. Puis si l’on veut se nourrir il faut partir à la chasse, à la pêche, à la cueillette.Il faut ensuite cuisinier et je m’initie à mes nouvelles fonctions avec plus ou moins de talent. Ainsi passent les jours au coeur de la forêt équatorienne
Dans cette partie de l'Amazonie, sept communautés indigènes distinctes coexistent, chacune ayant des modes de vie différents. Nous sommes accueillis par une famille qui nous fera découvrir leur mode de vie pendant plusieurs jours, et nous passerons de surprises en surprises. Lorsque nous avons exprimé le désir d'aller en forêt, il a fallu accepter des peintures sur le visage. Les kichwas attachent une grande importance au symbolisme spirituel et à la cosmovision chamanique et comme nous sommes étrangers, les peintures nous ont protégés des esprits de la forêt. Après une descente épique de la rivière nous nous sommes rendus à une cascade sacrée où nous avons pris un bain purificateur. Le soir aucune lassitude à observer la forêt et à écouter ses bruits, le spectacle est magique.
Nous retournerons plusieurs fois au cœur de la forêt où nous découvrirons des chenilles danseuses, des plantes savons, des plantes parapluies et nous dégusterons aussi de succulentes cannes à sucre sauvages. Nous serons initiés au tir à la sarbacane et nous découvrirons de nombreux oiseaux qui jouent à cache cache dans les arbres. C’est impressionnant de voir la communion qui existe entre ces indigènes et la nature. Pratiquement tout ce qu’ils consomment ou utilisent vient de la forêt.
L’immersion en territoire kichwa se poursuit. Le soir c’est l’heure de se retrouver autour d’un feu pour chanter et danser. Le matin nous nous levons avec la communauté à cinq heures, avant le lever du soleil. Pendant plus de deux heures chaque personne rassemblée autour du feu raconte ses rêves et le chef les interpréte. C’est la première fois que nous réalisons une psychanalyse publique. Le chef raconte aussi les contes et légendes de la forêt, c’est ainsi que perdurent les traditions de la communauté. À partir de sept heures tout le monde s’attelle à sa tâche, l’occasion pour Hélène de se prendre quelques instants pour une gentille guenon. Puis si l’on veut se nourrir il faut partir à la chasse, à la pêche, à la cueillette.Il faut ensuite cuisinier et je m’initie à mes nouvelles fonctions avec plus ou moins de talent. Ainsi passent les jours au coeur de la forêt équatorienne
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