En 2017, l’ordre des Médecins comptait 1136 gynécologues médicaux pour 28 millions de femmes en âge de consulter. La généralisation des consultations auprès des sages-femmes est-elle la solution face à cette pénurie ?
Effectivement, cela peut être une partie de la solution, cependant le travail en collaboration et en réseaux devient primordial pour que les sages-femmes puissent orienter les patientes en cas de pathologie. 21% des 22700 sages-femmes exercent actuellement en libéral. Une sage-femme n’est pas non plus un gynécologue au rabais, c’est une profession qui mérite une reconnaissance de ses compétences bien définies. Et la reconnaissance passe aussi par une revalorisation financière de ses actes.
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