Le Streetstepper, c’est l’art de se déplacer autrement, de prendre soin de soi sans s’en rendre compte, et de redécouvrir la rue comme un terrain de jeu. Un clin d’œil à la modernité, avec la poésie d’un pas de côté. Essayez-le, et vous verrez : la ville n’aura plus jamais la même allure.
Imaginez, Mesdames et Messieurs, un drôle d’engin qui déambule sur la route, ni tout à fait vélo, ni tout à fait stepper, mais un peu des deux, et surtout beaucoup de bonne humeur. Le Streetstepper, c'est son nom, est un objet roulant non identifié. Il attire les regards, intrigue les passants et fait sourire les enfants, tout en gardant le dos bien droit et les articulations heureuses.
Alors me direz-vous : Le Streetstepper, c’est quoi ? C’est l’invention d’un ingénieur tyrolien, passionné de vélo, qui a troqué la selle contre la liberté, et les pédales contre deux bras de levier indépendants. Fini le mal de dos, adieu les douleurs de la selle. Ici, on est debout, on marche, on glisse, on s’élève, comme dans un ballet mécanique orchestré par la rue.
Bref, vous l'aurez compris : Le Streetstepper, c’est la promesse de retrouver le plaisir de bouger, sans contrainte, avec le sourire et l’émerveillement du premier tour de roue. Lors du Printemps du vélo organisé par les Cycles Plein Air, Henry Salamone a fait une rencontre imprévue au détour d'un stand, celle de Marc Wierzbinski, instructeur / revendeur de ce drôle de vélo.