GGN : En quoi le covid-19 représente-t-il un risque plus important pour les personnes atteintes de troubles psychiques ?
Stéphanie Courtade : Ils ne sont pas plus à risques mais ils sont plus vulnérables sur le plan des mesures de prévention car il est plus compliqué de leur faire entendre les méthodes de précaution. Certaines personnes ne sont pas à même de comprendre et de s’adapter à la situation. Imposer des gestes barrières est plus difficile pour ceux qui souffrent de troubles psychiques. Il est par exemple difficile de protéger les grands autistes qui ont une approche du monde sensorielle, et qui ont besoin de toucher beaucoup plus de choses.
(...)
Retrouvez l"intégralité de cet entretien sur GlobalGeoNews.com