L'abandon des quartiers populaires au profit de minorités non représentatives de la population est une réalité. Les récents événements de Dijon, qui ont opposé des Tchétchènes et des jeunes issus de la communauté Maghrébine, en sont la preuve.
On le sait : depuis des décennies, les gouvernements successifs, de droite et de gauche, ainsi que les partisans du « en même temps » ont préféré la politique de la communication et les alliances passives avec le communautarisme à celle de l’action concrète.
Les Grésilles, à Dijon, n'échappent pas à la règle. Résultat : les habitants ont le sentiment d’être les grands oubliés de la République, contraints de laisser la place libre à des bandes de voyous et des intégristes religieux ultra minoritaires, mais hyperactifs.
Les causes principales de cette déliquescence : l’électoralisme et la compromission. (...)
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