Lors de la soirée d’hommage aux victimes des attaques terroristes en mars 2012, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve a prononcé un discours en mettant en exergue le « devoir de mémoire » : « Je suis venu dire la force du souvenir et du devoir de mémoire, parce que l’abjection qui s’est produite à Toulouse et à Montauban justifie que ce devoir de mémoire s’exerce à l’infini « Cela m’oblige, en tant que ministre de l’Intérieur, face au risque terroriste, face à la menace terroriste qui est plus élevée qu’elle ne l’a jamais été, sans doute plus élevée encore qu’au mois de novembre ».
[TV Locale Toulouse]