Il nous offre : Après la méditation, La sieste en rouge, Le long du ruisseau, au changement d’heure, tout un programme pour se plonger dans cet univers de couleurs. La palette de Michel Graff, haute en lumière, varie de rouges en bleu et jaunes. Il nous entraine dans son jeu, celui de l’expression directe, cette improvisation qui perturbe nos théories. Il pousse même le débat en donnant des noms à ses toiles : Il convient de distinguer Joueur jusqu’au bout du pinceau, sa composition tructurale contraste avec la liberté de ses touches voluptueuses et charnelle.
[Sylvie AMIGO]